En éditant leur troisième opus, «Time Warriors», sur le label hautement respecté de Lee Dorian (Cathedral), Rise Above, on a eu envie d’en savoir plus sur les suédois chevelus d’Horisont. L’un des guitaristes de la formation, Kristofer Möller, a bien voulu répondre à nos questions. Entretien.
Comment présenterais-tu Horisont aux personnes qui ne connaissent pas encore le groupe ?
Kristofer Möller (guitare) : Nous sommes une formation de hard rock classique originaire de Suède. Notre style musical met en avant des parties vocales un peu hautes perchées accompagnées de guitares doublées, d’une basse qui martèle et d’une batterie qui tue (rires). Nous adorons nous produire sur scène et faire en sorte que notre public s’éclate bien au son de notre musique.
Comment ont été accueilli vos deux premiers albums, « Två Sidor Av Horisonten » et « Second Assault », par les fans et la presse ?
K.M. : Nous avons eu des bons retours sur ces deux disques. Certains ont préférés le premier, qui contenait des paroles en suédois, alors que d’autres ont plutôt aimé « Second Assault ». En général, nos deux albums ont été assez bien accueillis. En fait, nous sommes vraiment surpris que nos disques aient d’aussi bonnes critiques, en particulier avec le premier, alors que nous ne savions pas du tout ce que les gens allaient en penser. Nous jouons juste la musique qui nous plaît et si certains l’apprécient, tant mieux ! Si personne ne l’aimait, nous continuerions à le faire pour nous-mêmes. Mais, jouer en live, face à un vrai public, c’est quelque chose d’extrêmement gratifiant.
Parlons de votre deal avec Rise Above. Comment avez-vous signé sur ce label ?
K.M. : En fait, ils se sont montrés intéressés par notre musique et nous pensons que c’est un label très cool. Ribe Above nous convient parfaitement, ils aiment vraiment leurs artistes et tout ne tourne pas qu’autour de l’argent, ils essayent vraiment de faire émerger des talents. La première fois que nous sommes entrés en contact avec une personne du label, c’était en 2010, lors du festival itinérant Roadburn. Nous avons commencé à parler musique puis de ce que nous pourrions faire dans le futur ensemble. Nous sommes restés en contact et ils nous ont demandé si nous voulions réaliser quelques disques pour eux. C’est de loin l’un des meilleurs labels pour nous.
Avez-vous des souvenirs particuliers de l’enregistrement de « Time Warriors » ? Est-ce que vous avez expérimenté des processus d’écriture et de composition différents par rapport à vos deux précédents albums ?
K.M. : Nous enregistrons toujours beaucoup de choses. Nous pouvons passer des heures dans le studio pour obtenir le feeling parfait sur nos chansons. Nous l’avons fait pour le premier album, "Två Sidor Av Horisonten", et le second, “Second Assault” ainsi que pour celui-ci. Sur “Time Warriors”, certains titres sont des premières prises. C’est de loin le disque qui a été le plus facile à enregistrer. Nous savions exactement où nous voulions aller et nous avions beaucoup de compositions dans lesquels piocher. Nous avions réalisé pas mal de démos avant de rentrer en studio, quelques titres ont été enregistrés dans des versions alternatives et nous avons choisies les meilleures pour chaque chanson.
Est-ce que vous pouvez nous en dire plus sur vos influences ? Il semble que le heavy metal anglais du début des années 80 trouve un certain écho sur ce disque…
K.M. : Nos influences sont restées les mêmes que pour notre premier disque. Nous avons juste fait le choix d’enregistrer des chansons plus dures car, pour nous, aujourd’hui, elles nous semblent plus intéressantes à jouer de cette façon. La production est également plus heavy que sur nos précédents albums, c’est pour cela que nous sonnons un peu comme certains groupes de la New Wave Of British Heavy Metal. Cette fois-ci, nous voulions que les guitares soient plus mordantes, moins bluesy, et que la batterie ait un son plus sec. En tout cas, c’est vrai, nous écoutons pas mal de groupes de cette période.
Même si tu es l’un des guitaristes du groupe, est-ce que tu peux nous parler des sujets qui vous influencent dans l’écriture des paroles ?
K.M. : C’est effectivement Axel qui écrit la plupart des textes. Il écrit sur la vie de tous les jours, les endroits où il est allé, les gens qu’il a rencontré, des amis, etc… Il trouve l’inspiration dans tout ce qui l’entoure. Nous commençons souvent par composer la musique et, ensuite, Axel s’attèle au travail d’écriture.
Pour finir, quels sont vos plans pour la fin de l’année ?
K.M. : En octobre et en novembre, nous allons donner pas mal de concerts en Scandinavie. Nous allons sûrement jouer à Londres au cours de cette période, ainsi qu’à la fin de l’année. En ce moment, nous sommes en train de répéter toutes les nouvelles chansons que nous allons interpréter en live. Je t’assure que nous sommes parfaitement en place, comme jamais nous l’avons été. Nous sommes également en train de prévoir quelques concerts en Europe pour l’année prochaine. Le fait de jouer en France commence à se profiler !
Propos recueillis par Laurent Gilot
Photo : DR
Horisont, Time Warriors (Rise Above Records)
Sortie le 30 septembre 2013
www.riseaboverecords.com
Horisont, Writing On The Wall, officiel video
Comment présenterais-tu Horisont aux personnes qui ne connaissent pas encore le groupe ?
Kristofer Möller (guitare) : Nous sommes une formation de hard rock classique originaire de Suède. Notre style musical met en avant des parties vocales un peu hautes perchées accompagnées de guitares doublées, d’une basse qui martèle et d’une batterie qui tue (rires). Nous adorons nous produire sur scène et faire en sorte que notre public s’éclate bien au son de notre musique.
Comment ont été accueilli vos deux premiers albums, « Två Sidor Av Horisonten » et « Second Assault », par les fans et la presse ?
K.M. : Nous avons eu des bons retours sur ces deux disques. Certains ont préférés le premier, qui contenait des paroles en suédois, alors que d’autres ont plutôt aimé « Second Assault ». En général, nos deux albums ont été assez bien accueillis. En fait, nous sommes vraiment surpris que nos disques aient d’aussi bonnes critiques, en particulier avec le premier, alors que nous ne savions pas du tout ce que les gens allaient en penser. Nous jouons juste la musique qui nous plaît et si certains l’apprécient, tant mieux ! Si personne ne l’aimait, nous continuerions à le faire pour nous-mêmes. Mais, jouer en live, face à un vrai public, c’est quelque chose d’extrêmement gratifiant.
Parlons de votre deal avec Rise Above. Comment avez-vous signé sur ce label ?
K.M. : En fait, ils se sont montrés intéressés par notre musique et nous pensons que c’est un label très cool. Ribe Above nous convient parfaitement, ils aiment vraiment leurs artistes et tout ne tourne pas qu’autour de l’argent, ils essayent vraiment de faire émerger des talents. La première fois que nous sommes entrés en contact avec une personne du label, c’était en 2010, lors du festival itinérant Roadburn. Nous avons commencé à parler musique puis de ce que nous pourrions faire dans le futur ensemble. Nous sommes restés en contact et ils nous ont demandé si nous voulions réaliser quelques disques pour eux. C’est de loin l’un des meilleurs labels pour nous.
Avez-vous des souvenirs particuliers de l’enregistrement de « Time Warriors » ? Est-ce que vous avez expérimenté des processus d’écriture et de composition différents par rapport à vos deux précédents albums ?
K.M. : Nous enregistrons toujours beaucoup de choses. Nous pouvons passer des heures dans le studio pour obtenir le feeling parfait sur nos chansons. Nous l’avons fait pour le premier album, "Två Sidor Av Horisonten", et le second, “Second Assault” ainsi que pour celui-ci. Sur “Time Warriors”, certains titres sont des premières prises. C’est de loin le disque qui a été le plus facile à enregistrer. Nous savions exactement où nous voulions aller et nous avions beaucoup de compositions dans lesquels piocher. Nous avions réalisé pas mal de démos avant de rentrer en studio, quelques titres ont été enregistrés dans des versions alternatives et nous avons choisies les meilleures pour chaque chanson.
Est-ce que vous pouvez nous en dire plus sur vos influences ? Il semble que le heavy metal anglais du début des années 80 trouve un certain écho sur ce disque…
K.M. : Nos influences sont restées les mêmes que pour notre premier disque. Nous avons juste fait le choix d’enregistrer des chansons plus dures car, pour nous, aujourd’hui, elles nous semblent plus intéressantes à jouer de cette façon. La production est également plus heavy que sur nos précédents albums, c’est pour cela que nous sonnons un peu comme certains groupes de la New Wave Of British Heavy Metal. Cette fois-ci, nous voulions que les guitares soient plus mordantes, moins bluesy, et que la batterie ait un son plus sec. En tout cas, c’est vrai, nous écoutons pas mal de groupes de cette période.
Même si tu es l’un des guitaristes du groupe, est-ce que tu peux nous parler des sujets qui vous influencent dans l’écriture des paroles ?
K.M. : C’est effectivement Axel qui écrit la plupart des textes. Il écrit sur la vie de tous les jours, les endroits où il est allé, les gens qu’il a rencontré, des amis, etc… Il trouve l’inspiration dans tout ce qui l’entoure. Nous commençons souvent par composer la musique et, ensuite, Axel s’attèle au travail d’écriture.
Pour finir, quels sont vos plans pour la fin de l’année ?
K.M. : En octobre et en novembre, nous allons donner pas mal de concerts en Scandinavie. Nous allons sûrement jouer à Londres au cours de cette période, ainsi qu’à la fin de l’année. En ce moment, nous sommes en train de répéter toutes les nouvelles chansons que nous allons interpréter en live. Je t’assure que nous sommes parfaitement en place, comme jamais nous l’avons été. Nous sommes également en train de prévoir quelques concerts en Europe pour l’année prochaine. Le fait de jouer en France commence à se profiler !
Propos recueillis par Laurent Gilot
Photo : DR
Horisont, Time Warriors (Rise Above Records)
Sortie le 30 septembre 2013
www.riseaboverecords.com
Horisont, Writing On The Wall, officiel video
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